Voici la réaction de JL MOUDENC, Maire de Toulouse, au témoignage de 56 Contrôleurs des Finances et à nos protestations très nombreuses concernant le flagrant délit de maltraitance des pigeons piègés sur au moins un toit de TOULOUSE.
Remerciements à tous les signataires de la pétition et à toutes les personnes qui, d'une manière ou d'une autre, ont accompagné cette action de protestation. Voir mail ci-dessous.
Un peu moins de souffrances des pigeons, au moins dans une des 50 cages posées sur les toits de TOULOUSE, avant de partir sur les tables de charcutage de l'...entreprise S.
Bonjour à tous,
Résultat de notre intervention et de la pétition signée par le personnel de la Direction des Finances Publiques de Toulouse envoyée par nos soins à la mairie ainsi qu'au journal La Dépêche.
Un peu moins de souffrances pour ces oiseaux au moment de leur piégeage dans une des 50 cages posées sur les toits de Toulouse.....avant de partir sur les tables où ils seront castrés-charcutés... sans analgésiques et anesthésiants adaptés à leurs viscères...
Prise en flagrant délit de maltraitance animale, la S. s'est précipitée pour se mettre en règle : des employés sont venus au moins 3 fois par semaine pour "relever" les pièges où il avait été vu que les pigeons étaient entassés, exposés aux intempéries, des heures, des jours et des nuits d'affilée, voire pendant plus d'une semaine... Par exemple, la double cage en question est maintenant "vidée" avant les week-ends....
C'est ce dont nous fait part notre "correspondant"- témoin...
Bien évidemment, c'est juste une toute petite victoire, les cages restant là, de même que .... tout le reste !
Continuons à réclamer le retrait de ces cages, la suspension du contrat avec l'entreprise S., la fin des gazages et des stérilisations chirurgicales.
Et à réclamer des pigeonniers municipaux ! Bref, une gestion éthique, durable et transparente !
Bien à vous, chacune et chacun de vous. Encore merci pour votre participation.Brigitte Marquet, présidente
Article du journal LA DEPECHE pour dénoncer le calvaire des pigeons piègés sur les toits de TOULOUSE.
PETITION contre piègeages, gazages et stérilisations sans anesthésie des pigeons à TOULOUSE, à l'intiative de Jean-Marie RAYNAUD, contrôleur des finances publiques - DGFiP à Toulouse.
Depuis plusieurs semaines, les personnels du bâtiment de la DGFIP (Direction Générale des Finances Publiques) à Toulouse peuvent constater à hauteur du 3e étage la présence d'une cage destinée à piéger les pigeons sur le toit de l'immeuble privé situé au 40 rue du Rempart Saint Étienne.
[...]
L'éthique devrait vous pousser à installer sur les toits de Tououse des Pigeonniers contraceptifs dans lesquels les pigeons viennent nicher (au lieu de dormir dans les arbres au dessus de nos véhicules et de nos trottoirs) et dans lesquels il est aisé de remplacer leurs oeufs par des leurres.
5 pages de pétition ont été récoltées, soit 56 signatures
L'Ambassade des Pigeons reçoit le mail suivant ainsi que des photos de pigeons piègés, de la part de Monsieur Jean-Marie Reynaud, Contrôleur des Finances Publiques à Toulouse
Bonsoir,
Comme vous me l'avez demandé, je vous envoie les photos des pigeons piégés dans la cage en face de mon bureau au 40 rue du Rempart St Étienne à TOULOUSE. Je ne peux pas faire mieux au niveau de la qualité photographique.Je vous confirme que cette cage a été vidée à 2 reprises par la société qui l'a posée.
Ces pigeons ne seront certainement récupérés que courant semaine prochaine (ils ne passent qu'une fois par semaine).
Mes collègues sont d'accord pour signer une pétition que je ne manquerai pas de déposer à la mairie de Toulouse.
J'ai lu l'article de La Dépêche de 2014 qui relate votre passage dans notre ville et vos contacts avec Mme RONCATO.
Je vous remercie par avance de m'accuser réception du présent E-Mail.Je vous souhaite un bon weekend.
Bien cordialement,Jean-Marie RAYNAUD
Voici la lettre envoyée par le maire de Toulouse suite à notre mail d'étonnement et de "réclamations".
A nouveau aucun compte-rendu officiel de ce RV au cours duquel nous constatons à nouveau à quel point les "services" de la mairie de Toulouse sont réticents à modifier leurs habitudes et à faire cesser les gazages et les stériliations des pigeons sans anesthésie. Cette fois, "on" nous fait croire que les pigeons sont gazés au monoxyde de carbone. Et "on" nous assure à nouveau que les pigeons ne souffrent pas quand on leur ouvre l'abdomen et qu'on arrache leurs gonades à vif... Tous les vétérinaires le savent : une simple piqûre intra-musculaire de "calmant" dans le bréchet des pigeons est totalement inapte à supprimer la douleur dans les organes internes.
Suite au RV obtenu à la mairie de Toulouse le 10 juillet dernier, voici l'article du Journal la Dépêche du Midi qui parle du sort des pigeons à Toulouse et de notre visite